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Charges favorables à l'emploi

Ils ont dit:

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Lu dans la presse

Ils ont dit:

QUI? OU? QUOI?
Bernard KOUCHNER Le Point du 24/11/2005 Ce qui m'interesse, c'est que la gauche prenne un virage vers plus d'imagination et moins de dogmatisme...Pour équilibrer le monde vers plus de justice ici et là-bas, il ne faut pas ignorer la mondialisation, mais la réorienter....L'emploi est une autre priorité, pour laquelle il nous faut également changer d'approche...Cela veut dire à la fois imaginer de nouvelles souplesses et offrir de nouvelles garanties.

Véronique COLUCCI
Les Restos du coeur

AFP le 5/12/2005 aujourd'hui il y a dix fois plus de pauvres qu'en 1985
Hugo CHAVEZ
Président du Venezuela
  « Il nous faut rechercher le point d’équilibre entre le marché, l’Etat et la société. Il faut faire converger la main invisible du marché et la main visible de l’Etat dans un espace économique à l’intérieur duquel le marché existe autant que possible et l’Etat autant que nécessaire. »
Patrick Bonazza LE POINT 09/06/2005 N°1708 via internet Le chômage de masse mine jour après jour le fameux « modèle social français » auquel le nouveau Premier ministre, dans une envolée très romantique, se dit encore très attaché. Comme si ce modèle n'était pas déjà bel et bien enterré. Voilà belle lurette, en effet, que la France ne peut donner en exemple sa réussite sociale. Aux 2,5 millions de chômeurs s'ajoutent 1,18 million de RMistes, sans compter les préretraités, les emplois aidés, les travailleurs pauvres... Dans un rapport du Plan qui avait défrayé la chronique en 1997, Henri Guaino avait estimé la population des laissés-pour-compte à 7 millions de personnes !

Daniel SPAGNOU
Député UMP des Alpes de Haute Provence

Haute Provence Info du 23/12/05 ...On supprime des emplois d'un coté, tout en publiant des bénéfices de l'autre. Aujourd'hui, je ne sais plus très bien où se trouve la frontière entre le réalisme et l'autisme économique.

Florence PARISOT
Présidente du MEDEF

Les Echos du 4/01/06
à propos de la "TVA sociale"

faire reposer les cotisations sur autre chose que les salaires est simpliste..
Assoir les cotisations sur la valeur ajoutée, donc sur l'investissement, ne va pas freiner les déolocalisations, car la mobilité des investissements est potentiellement encore plus grande que celle des emplois.

     
     
     
     
 
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